A l'interieur (Libre)

Je lui lança un regard embué de larmes
-comment ça pourrais aller? Miaulais-je en baissant la tête

Je m'approcha d'elle.
-Que ce passe-t-il?

-rien grognais-je en continuant mon chemin plus haut dans la montagne "tu ne peux pas comprendre!" me dis-je

-Que se passe-t-il? répétai-je en lui barrant la route.

-rien je te dis! Crachais-je en montrant les crocs, luttant montre moî même pour ne pas éclater e sanglots

-S'il te plait. Je ne veux pas voir un chat du Crystal souffrir... rétorquai-je d'une voix douce. Vous m'avez adopter.

(cb stp ^^)Je serra mes griffes dans la sol tremblante de gêne, n'osant décrocher un seul mot, je me contentais de le fixer les larmes perlant le long de mes moustaches.

-S'il te plait...

(pas tapper il est au courant et non dérangé)
-Je t'aime. Miaulais-je dans un sanglot étouffé, je baissa la tête mal à l'aise, ne désirant que fuir, le fuir lui, fuir le clan.

(Oui...)
Je recula et tomba dans l'eau.
-Tu... Tu... M'aime?!

Je me contenta de lever des yeux embués de larmes et de hocher la tête.
Ne pouvant parler, je ne put retenir plus longtemps mon pelage de se hérisser et contenir mes sanglots, mon cœur s'emballa, pire que chaque fois que je lui parlais ou même le voyais.

-Houx... Je ne savait pas...
Je m'approcha d'elle.

Je recula, la queue en panache.
-Je suis désolée.
Les parmes coulaient irrémédiablement sur mes joues, pourquoi ma vie était elle si injuste?!

-Houx... répétai-je. Tu n'y est pour rien... C'est moi...
Je baissa la tête.

-C'est pas ta faute si je... Je ne parvins pas à finir ma phrase, j'étais trop gênée, je désirais trop m'en aller du camps en courant, surement en le quottant pour toujours.

Je fermais la gueule.
-Houx...

-oui? Miaulais-je en levant un regard de chien battu vers lui, "n'éspère rien Houx de Miel, c'est peine perdue..." me dis-je

-Je t'apprèsi beaucoup mais j’ignore si je t'aime. Louve... J'aime Louve... Lais il faut que je réfléchisse.

-Je sais que tu l'aime, quel que sois ton choix... Je le respecterais. Miaulais-je doucement en commençant à me diriger lentement vers la sortie du camps.

-Merci.
Je la suivit du regard. Je tourna les talon et m'allongea dans ma litière.

J'étais en dehors du camps, je connaissais déjà sa décision, moi je le supportais très bien... Mais mon cœur lui...
Je ne pouvais m'arrêter de pleurer, je désirais hurler, vomir, mourir, quitter se monde si cruel.
J'avais perdu ma famille et mon clan, et je venais de perdre le chat qui avait réussi à refaire battre mon cœur de pierre.
Je m'isola dans un tronc d'arbre, vomissant ma douleur de mots étouffés et ponctués par de violant sanglots.

Je me mis à analyser mes sentiment, lentement.

Une fois la souffrance extériorisée, je retourna au camps, cependant, une fois devant le tunnel arrivant vers la clairière, mon cœur se fendis, je ne pouvais croiser à nouveau le regard d'argent de Cœur du Désespoir, j'en serais incapable, mais je voulais savoir sa décision, il me restait une lueur d'espoir.

Je me leva et sortis de ma tanière. Je sortis dehors et gravis la montagne.

J'alla me pelotonnée dans ma litière de mousse