A l'interieur (Libre)

-Tu trouveras seul où te mettre, où est ta place, seule le vent de la destiné, et le souffle de ton cœur découragé de se battre, accompagné de sa douce mélodie du temps et de son fidèle ère de la volonté te dirons où aller. Miaulais-je d'un ton doux que je voulu rassurant, je n'osa pas tourner vers lui mes yeux verts, je me contenta de regarder le ciel, de chercher nos mères. "regarde maman, mon esprit est chamboulé et perdu mais mon cœur a cessé de saigner! A non... La blessure est plus abondante encore... Pourquoi?" Pensais-je avec émotion.
"et toi mère de Cœur du Désespoir, ce chat n'est pas à moi, il n'est a personne, c'est à lui accompagné des "justiciers" du destin de le guider. Jamais plus je ne te laisserais le tourmenter!" Pensais-je

-Tu as raison!
Je parlais avec une nouvelle énergie.

Cette nouvelle énergie dont il faisait preuve ici me donna du baume au cœur.

Je lui donna un coup de langue, me colla quelque instants çà Louve pour ne pas l’abandonner et partis me coucher.

Je m'endormis paisiblement d'un sommeil reposent

Je ne m'endormi pas, fixant les deux chatte.

je m'allongea pres de mon compagnon me collant contre sa douce fourrure et je mis mon museau dans ses épaules et enroula ma queue autour de la sienne

Je fermais mes yeux la fourrure et le souffle de Louve conte moi, les yeux fermer de Houx qui me fixai.
-Désesp! Tu n'est qu'un lâche! Je te retrouverai et je te tuerai, toi et ton clan, ta famille
-Arrête, Feuillou, tu sais que se n'est pas notre place ici!
-Dans ce cas, meurt, Désesp!
Je me réveilla en sursaut.

Je dormis cette nuit là d'un sommeil agité, j'avais un mauvais pressentiment, alors j'ouvris mes yeux encore ensommeillés

J'ouvris les yeux
Je vis Houx de Miel réveillée
-bonjour!

-Bonjour Ombre de Louve. Miaulais-je d'un miaulement claire.

Je lui chuchota :
-du aime désespoir n'est-ce pas?tu sais je ne t'en veux pas car tu est mon amie .tu aurais du me le dire avant je ne t'aurais rien dit ma cherie

Sa voix résonna en écho dans mon corps, je me crispa et lui chuchota à mon tours.
-Oui j'aime Cœur du Désespoir, mais sache que je ne veux que son bonheur, donc je ne te ferais jamais, au grand jamais de coups tordue.

Je m'étais lever bien avent et je n'avais donc pas entendu leur conversation.
-Salut.
Je rentra des proie dans la gueule, les trais tiré.

Je garda le silence en le voyant arriver.
Muette d'un silence de glace, un silence qui me glaça le sang.

-Heuuu... Ça vas?

-oui. Miaulais-je

-Oki.
Je fis le gros dos et je baillai.

Je me dirigea vers la sortie du camps, je voulais chasser, chasser toute cette histoire de ma mémoire.

-Vous avez bien dormis?

J'étais déjà à l'extérieur, je n'avais pas entendu, et je ne voulais pas entendre.

J'aussai les épaules au sortis du camps comme un fou.

Je chassa, l'esprit un peux ailleurs, je devais me ressaisir et vite.

Je finis par m’effondrer. Je n’avais pas dormis et j'étais crevé.
-J'en peux plus... Je n'arrive plus à dormir, Feuillou aurais dû me tuer, comme ça je serais en paix...
Je roulai sur le flan, exténuer et ne bougeai plus.

quand je vis désesp dans cette position j'accouru :
-DESESP!!!
hurlais-je de toute la force que j'eus
-ça va
lui dit -je paniquée comme pas possible puis je me pressa contre lui et je mit ma tete entre ses épaules