Partir ou rester? Libre mais surtout HURLEMENT DU LOUP

Je sortis du camps, j'en avais asser, je devais quitter le camps, et pour toujours.
Je regarda derrière moi,pensa au regard de louve, au silence de marbre de Desesp, mon cœur se déchira, je voulais oublier, tout oubliée, Berceuse Oublier aussi... Son nom, sa chanson, portée par le vent jusque dans mon cœur, tout.
Je lanca mon regard pénétrant dans la tanière des guerriers.

Je venai de me réveillai lorsque j'apercu, Houx. Je m'ébrouai et sortis.
-Ça vas, Houx? demendai-je d'un voix douce.

-Très bien merci. Miaulais-je en tournant le dos au guerrier

Je plissai mes yeux et m’assis à coté d'elle.
-Si Désesp te pose des soucis, je peux t'aider tu sais...
Je posai ma queue sur son épaule.

Je frissonna lorsque son pelage effleura le mien, son souffle chaud me glaça le sang.
-Je ne veux pas en parler. Miaulais-je d'un ton que je voulu doux, mais qui sorti de mes crocs en un crachement sec et énervé.
Je voulu le rassurer, je n'y parvins pas.

-Très bien, murmurai-je en partant.
Je pensai qu'elle avais besoin d'être seule.

Je le regarda partir néanmoins, je sentis une envie subite de rester.

-Tu es si triste, Hur. Souris...murmura une petite voix dans ma tête.
"Facile à dire, Petit Tigre."

Je le regarda partir, j'avais envie d'aller lui parler, mais pourquoi? Comment? J'avais plus d'amis dans le camps depuis l'histoire Desesp... Je ne voulais pas que ça recommence, je ne voulais plus aimer et être déçue en retour

D'un mouvement de queue, je lui proposai de venir chasser.
-Il est vraiment temps que tu prène les chose en mains.

-Non merci. Miaulais-je un peux las, je me contenta de traverser la cascade, je monta jusqu'au pic où je pouvais distinguer les anciens territoires du clan des cieux.

-Très bien.
Je partis.

Cependant, je lui courus après, aussi vite que je pus.
-Hurlement du Loup! M'écriais-je

Je me retournai et la pris de plein fouet.
-Quoi?

-ai, désolée. Je peux venir?... Miaulais-je timidement, fuyant son regard.

-Bien sûr.

-Merci. Miaulais-je en avançant à pas feutrés

-De rien, Houx.
-Gamin. T’attend quoi? Qu'elle est compagnon?

-ça va pas? Miaulais-je doucement

-Oui et toi, répondis-je aussi doucement.

J'hocha la tête le regard dans le vide.
J'inspira et mes prunelles reprirent leur vivacité.
-o-on y va?

-Bien sûr qu'on n'y va cervelle de souris.
Je la provoquai et m’élançai.

Je m'élança derrière lui en courant ventre à terre, il me fallu peut de temps pour le dépasser.

J'accelairai, m'enmailai les pattes et tombai sur elle.

-Cervelle de puce. Miaulais-je en me débattant grognant