A l'interieur (Libre)

j'interrogeais Houx
-que c'est il passé en mon absence

(tu as lus au moins?) Je soupira de soulagement, avant de me raidir de frayeur, je ne devais lui dire! C'étais sa compagne!!!! sa COM-PA-GNE!!! L'idée qu'elle apprenne mes sentiments me remplie de peur, je me contenta de bégayer, lançant autour de moi un regard désespéré, cherchant avec tout mon désespoir une solution pour échapper à son regard de braise.

je la rassura :
-si tu ne veux pas le dire je ne t'en veux pas
-si tu aime un chat il faut lui dire au moment ou tu pense que tu peux y'aller
je lui lécha l'oreille

-Mais je lui ai dis... Mais il a une compagne... Je ne me pardonnerais jamais de faire souffrir quelqu'un pour un chat que j'aime... Bafouillais-je en plongeant mon regard brûlant d'un éclat verdâtre -bien que embué de larmes et de honte- dans ces prunelles.

Je m'étira.
-Bon, ben moi je vais chasser.
Je commença à partir.

J'hocha la tête, je voulais le rejoindre et lui en parler, mais je le regarda s'en aller, le regard perdu

-Mais j'ai pas dis seul!

je leur dit
-moi je vais rester ici pour jouer avec les chatons pendant que leurs meres se reposent

Je me retourna vers lui et miaula
-je peux venir alors?

-Bien sûr.

Je le suivis à l'extérieur du camp.

Je marchais en silence.

Je le suivis silencieusement, attendant une réponse, la redoutant à la fois, cependant je n'osais dire un mot

-Je nlai pas choisi.

Cette réponse claire rapide et efficace me remis les idées en place.
-Ne te fatigue pas, je m'en vais... J'ai compris où tu veux en venir. Miaulais-je d'une voix cassée

-Mais non reste.
Je secouai la tête et la regardai.

Nous chassâmes sans un bruit, rentrée au camps, je fuyais son regard couleur acier comme je le pouvais.

-Repose-toi... Je vais patrouiller.
Je n'étais pas fatigué malgré tous les événement.

Je retourna au camps en silence, trop déçue pour riposter.
Je m'affala dans ma litière de mousse, une tache de sang maculait celle-ci, j'avais mal, mais comme personne ne semblais s'en préoccuper, je garda le silence.

Je retourna dans la tanière.
-En fait, je crois que je vais dormir, annoncai-je.
Aussitôt je fronça les sourcil.
-Mais c'est quoi cet odeur de sang?

Je n'osa dire un mot, je me tourna et essaya de m'endormir, le cœur battant de stresse.

-Houx? C'est quoi ce sang?
Je m'étais approcher.

Je leva vers lui des yeux ensommeillés, je feignis de ne pas savoir, la blessure se refermerais bien un jours.

-Houx?
Ma voix étais devenue menaçante.

Je vis le sang sur le pelage de Houx:
-ça va?